mercredi 30 juillet 2008

Lettre Ouverte

Cher Diastème,
Après avoir dévoré pendant mon adolescence tes chroniques-courrier-lecteur dans "20 ans" (j'en avais alors 12 et la simple lecture de ce mag encanaillé me donnait l'impression de devenir "une Femme") c'est à mon tour de t'écrire.
Tout d'abord pour te féliciter, car ta carrière discrète mais prolifique est une très belle réussite. Roman, théâtre, musique et cinéma, un artiste complet à qui tout réussit!
Ton univers, drôle et d'une sensibilité rare me touche et m'émeut (ça y est, je l'ai placé, j'adore ce mot, surtout depuis que j'ai vu "les Apprentis").
Tes personnages sont beaux, tendres, et assument leurs faiblesses et leurs folies sans jamais paraître mièvres. Du vrai romantisme humain.
Si je t'écris aujourd'hui c'est bien sûr parce que je suis allée voir "Le Bruit des gens autour", ton 1er film dont tu as eu la bonne idée de partager le scénario avec Christophe Honoré.
Un sans faute , que ce soit dans le choix des acteurs, des répliques, ou encore de la trame sur fond de festival d'Avignon.
Je me suis laissée emporter et je serais bien restée un peu plus longtemps à leurs côtés.
Je ne suis pas du genre à citer Télérama, mais pour le coup j'ai trouvé la critique de Jérémie Couston très juste: "Le Bruit des gens autour" appartient à cette catégorie de films dont on n'attend rien mais qui donnent beaucoup.
Subtilement, tu y as glissé des petites références à ton univers, comme l'affiche de la pièce réunissant Frédéric Andrau et Emma de Caunes qui reprend celle de "La Nuit du thermomètre". J'avais passé un très bon moment au théâtre et c'était bien de retrouver ici votre trio, dans ces coulisses où la fiction rejoint certainement un peu de réalité.
Le film m'a également donné envie de relire "un peu d'amour", ton recueil de nouvelles qui m'avait fait passer du rire aux larmes (Milou pourra en témoigner!). C'est d'ailleurs ça ton talent, jouer tout en nuance sur les sentiments.
En conclusion, cher Diastème, je n'aurais qu'un mot à dire: Ne change rien, continue comme ça.

lundi 28 juillet 2008

Mes chaussures pornograhiques

Les gars, faut pas se leurrer : 84% des filles ne savent pas faire les soldes.

Je vous parle en connaissance de cause : s'il y avait une association des handicapées de la solderie, j'en serais la présidente, la vice-présidente et la trésorière (et je me tirerais avec la caisse pour aller chez Chanel).

C'est vrai quoi, merde! Je peux avoir les comptes en banque qui orgasmisent à la simple vue des "Jusqu'à -70% " affichés partout en ce moment, Il suffit que je vois " Nouvelle Collection (Point Rouge) " écrit quelque part dans la boutique pour que mon maigre pouvoir-d'achat se transforme instantanément en énooooorme vouloir-d'achat. Résultat : je me retrouve toujours avec des dispendieuseté hors-saison. C'est comme ça que je me suis retrouvée les pieds dans mes chaussures pornographiques. Faut dire, elles mon sacrément aguichée ces cochonnes, à prendre des poses dans leur rayon de chez André (dit Dédé-le-Maquereau). Pis comme ça, je saurais quoi mettre si je vais un jour dans une backroom de soirée SM.

Modèle Poker, 59€(pas cher hein?)

bon, après, on n'est pas obligée de se saper en chaudière pour les porter.

jeudi 24 juillet 2008

Prochain arrêt

Pulls ou débardeur, jupe longue ou courte, dans le doute je crois que je vais TOUT prendre.

Ma valise commence à frémir et se planque sous le lit.
Autant pour le Brésil j'avais réussi à arborer fièrement un micro sac à dos rempli de petites tenues plus légères les unes que les autres, autant là je sèche.
Bref, plus que quelques jours avant mon départ pour Bratislava, puis Vienne, et comme dirait Catherine Laborde (ou Catherine Breillat, c'est vrai, ça marche aussi) "tous les scénarios sont possibles".
Si vous avez de bonnes adresses, je suis preneuse!
Et bon courage à toutes celles qui en sont à la phase valise.
C'est dur d'être en vacances...

mardi 22 juillet 2008

Flower for Zoe

A l'instar de Géraldine, qui encore une fois s'avère précurseur, j'ai choisi de passer outre les critiques et d'aller voir « Broken english », de Zoe Cassavetes. Oui, je sais, je suis trop une rebelle! Mais je ne regrette pas de l'avoir fait car c'est un premier film prometteur, tendre et «vraiment rafraîchissant», malgré une trame, hélas, ultra light. Bon je vous accorde que la jeune réalisatrice était plutôt programmée génétiquement. Au cas où vous ne le sauriez pas c'est : la fille de John Cassavetes et de Gena Rowlands (qui interprète ici avec son panache habituel la maman de l'héroïne), la soeur de Nick et Alexandra (tous 2 dans le cinéma) et la meilleure amie de Sofia Coppola, qui partage avec elle cet héritage du chromosome 7° art et le goût fashion minimaliste.

là en revanche les tatanes dorées suis pas sûre... Zoe a toutefois fait de nombreux détours avant de passer derrière la caméra (photographe, animatrice TV...). Tout comme son héroïne elle a d'ailleurs travaillé dans un hôtel arty-chic avant de fréquenter les membres de l'arty-show (ça c'est cadeau, c'est pour moi!) new-yorkais. Peu à peu elle a pris son élan et, à 38 ans, suivant les préceptes de son brillant papa, elle choisit pour son 1er scénario « d'écrire sur ce qu'elle connait». L'histoire de cette trentenaire célibataire en quête d'amour sent effectivement le vécu (Zoe est elle-même tombée amoureuse d'un frenchie, membre de Scratch massive, qui signe ici une excellente BO sur laquelle apparait également Phoenix, copine oblige!). Pour en revenir au film il manque indéniablement de rythme et de fond. Mais sa réussite tient au rôle principal, celui de Nora, interprétée par la talentueuse Parker Posey. Avec sa sensibilité et sa grâce elle donne à ce personnage de girl next door l'étoffe d'une héroïne, attachante, humaine et terriblement contemporaine. Ici pas de branchitude, juste du bon goût, tout en finesse. L'esthétique de Zoe Cassavetes est léchée, pointue et sans emphase. Bien que l'on devine rapidement la fin de l'histoire, on prend plaisir à suivre le parcours de cette jeune femme à laquelle il est facile de s'identifier (et je ne dis pas ça uniquement parce qu'elle déjeune à l'hôtel Amour!)
Un jour où l'autre nous sommes toutes passées par là et Zoe Cassavetes a parfaitement su retranscrire les doutes, les angoisses et les aléas de cette situation d'attente où la crainte et l'envie ne cessent de se juxtaposer. Vivement son second film!
Photos Allocine

lundi 21 juillet 2008

Bozo le Clooney

George Clooney dans la dernière pub Martini.

Non mais sans déconner, c'est pas la roi de la rodomontade, le George? (Vais me mettre au Martini moi, ça me changera des cocktails maisons des restos chinois).

jeudi 17 juillet 2008

Panne sèche ou le non-billet

Ohé les aminches,

De retour après moult péripéties, je sais pas bien par où reprendre le fil pour déméler la pelote de l'inspiration littéraire hautement vervesque qui me caractérise habituellement. Faut dire que j'en ai vu des vertes et prématurées ces dernières semaines. Quelle idée aussi de se faire atomiser les amygdales à 29 ans. Je vous le demande.

Mais, bon. 3 hospitalisations, 2 hémorragies et 1 transfert en ambulance plus tard, me voici de nouveau sur le pont, telle un petit moussaillon du Captain Iglo, avec béret à pompon, bottes en caoutchouc, marinière et tout le bordel (Gautier, la marinière, hein. Faut pas déconner). Lookée donc, mais toujours pas inspirée.

En bonne morue, je me suis alors tournée vers ma muse, Timothy (l'homme qui rit sans faire de bruit). Quelle idée (derechef). On voit bien que c'est l'été et que ça en fout pas une dans les bureaux. J'aurais du me douter de quelque chose rien qu'à voir sa tenue quand je l'ai convoqué. Point de toge, point de couronne de fleurs, point de lyre. En Speedo, qu'il était.

"Qu'est-ce tu fous? T'as vu ta touche?", que j'ai interloqué.

"Ben quoi? C'est jeudi, on a sortie piscine avec le bureau aujourd'hui", qu'y m'a répondu en haussant les épaules.

" Admettons. Bon, ben je sais pas quoi écrire. T'as pas une idée?". Ben si. Des idées, il en avait. T'as qu'à voir :

  • la corrida et la démonstration que le toro ne souffre pas
  • la berlutti et le cirage au champagne pendant la pleine lune
  • c'est qui le plus fort le rhinocéros ou l'hippopotame, parce que c est quand même balèze un hippo
  • les nouveaux russes
  • les shows lesbiens aquatiques et Muriel hermine.
"Ah quand même ", que j'ai fait. "Ben ouais. C'est juillet, hein", qu'il a soufflé en s'évaporant. Du coup, par respect pour vous, le lectorat, j'ai décidé de rien écrire aujourd'hui. Enfin presque rien puisque finalement, j'en arrive à mon quota de signes réglementaires. Déjà que j'avais pas de ligne éditoriale, voilà que je n'ai même plus de sujet. On aura tout vu ici, tout de même; heureusement que c'est gratuit parce qu'on peut pas dire que vous en ayez pour votre argent. Mais bon, comme dirait Isabelle, ma dernière aide-soignante/philosophe, "c'est les alinéas de la vie ". Pas mieux.

lundi 14 juillet 2008

Terres du son

Bon je ne vais pas vous refaire le coup de la pub 100% Touraine, mais je ne vais pas non plus passer à côté de cette jolie réussite locale qu'a été Terres du son ce WE. Après avoir cherché son public (et le soleil) pendant les 3 premières éditions, ce festival a enfin réussi son rendez-vous, avec chaque jour près de 10 000 personnes réunies dans le parc du château de Candé (oui, nous ici on fait des festochs dans nos châteaux, la classe!). Il faut avouer que cette année la programmation était particulièrement bien faite. Sur les 3 jours j'ai donc fait ma petite sélection, par ordre d'arrivée sur scène:

le duo franco-finlandais The Do , plus rock que folk en live, nous a interprété son excellent tube « on my shoulders », ainsi qu'une reprise inattendue du « crazy » de Gnars Barclay. Cocoon. Alors eux non seulement j'ai craqué sur leur titre « on my way » et leurs chansons douces, mais en plus ils ont vraiment l'air super sympa (et plutôt canon en ce qui concerne le chanteur)! Keziah Jones, LA Star du festival, a mis le feu à la prairie avec sa guitare ultra-électrique. Reprenant tous ses hits, de « Blufunk is a fact » à « Rythm is love » en passant par « Beautiful Emily» (spéciale dédicace, sacré Keziah!) impossible de tenir en place! Cerise sur le gâteau il a conclu en beauté avec une reprise de « War » de Bob Marley. Tout bon. Dimanche, c'était au tour de Micky Green d'illuminer le festival de sa chevelure platine, de sa guitare rose Hello Kitty et de son rire inimitable. Bonne humeur et légèreté rock étaient les bienvenues.

Côté scène locale je retiendrais les Voleurs de swing, ce trio de jeunes musiciens bourrés d'humour, de talents et d'énergie, ainsi que Band at the party, une formation originale mêlant funk et électro.

Bilan du WE: mal de dos, écoeurement à la vue d'un sandwich-merguez, mais musique plein la tête! Vivement l'année prochaine!

lundi 7 juillet 2008

Cuisine Nippone, les 10 commandements

1) ne pas lécher ses baguettes

(bon ça quand même, on est pas des cochons, j'ai su me tenir sur ce point)

2) ne pas piquer les aliments avec ses baguettes

(comble du comble de l'impolitesse, je l'ai pas fait, je ne savais pas mais je me doutais que ça sentait la connerie le piquage de baguettes)

3) ne pas faire bouger une assiette avec ses baguettes

(je crois avoir fauter là, mais très très discrète pour le coup)

4) ne pas les utiliser pour mélanger les aliments

(ce que j'ai fait, par réflexe, avec ma première soupe miso because y avait des coquillages la gueule ouverte là dedans qui me regardaient)

5) si tu touches un aliment avec tes baguettes, t'es obligé de le manger

(je rappelle qu'il y a eu du sashimi de cheval)

6) toujours passer un plat avec les deux mains (comme pour les cartes de visite d'ailleurs)

soupe miso aux coquillages
assortiments de suhis
sashimi de cheval et bœuf au citron vert
salade de pieuvre au soja et piment rouge
lamelles de canard et son bouillon
tofu tiède au gros sel et wasabi
boeuf de kobé au grill

7) j'oubliais le verre de saké entre chaque plats

y avait 12 plats......

....et ce sera 7 (les commandements)

dimanche 6 juillet 2008

Peine de cheveux

La journée avait pourtant bien commencée: du soleil, un choix de tenue en moins de 10 minutes (sans même 1 hésitation sur les chaussures!), encore un peu de café chaud dans le thermos du bureau, bref tout roulait!
Jusqu'à ce coup de fil fatidique.
Je vous refais la scène, Moi: « Bonjour je voudrais prendre RDV avec Jean-Philippe pour un rattrapage de frange », de l'autre côté: « impossible, il est parti ».
La nouvelle est tombée comme un coup de massue sur Nicky Larson...Dur!
Moi qui avais ENFIN trouvé le bon coiffeur, celui qui comprenait parfaitement ce genre de phrase indigeste:
" je voudrais changer quelque chose, tout en restant dans le naturel",
"une coupe qui ne fasse vraiment pas coiffé",
"Bon la frange OK mais pas effet rideau, juste quelques mèches, enfin quand même assez lourdes...Un truc facile à vivre quoi!",
"vous voyez ce que je veux dire?!"
Celui qui ne vous soumettra jamais ça:
Et n'affichera jamais ça en vitrine:
Si, je vous jure , c'est une vraie pub! Aucune retouche, pas de photoshop, RIEN!
Bref, ensemble nous passions de bons moments, à debrieffer de nos achats sur venteprivée.com, à décrypter les dernières tendances capillaires, à choisir le shampooing qui convenait le mieux à l'humeur de mon cuir chevelu. Bien qu'armé de ces ciseaux, je lui faisais une confiance aveugle. Et là il me lâche... La rupture... Bon il m'en avait plus ou moins parlé, c'était en projet, j'aurais DÛ le voir venir, mais là je me retrouvais devant le fait accompli et c'était terrible.
Abasourdie, et ne me sentant pas l'âme aventureuse d'une testeuse de MilCoif, Créa'tif et autres Libre comme l'hair (source: pages jaunes) j'ai accepté un RDV avec son remplaçant.
Malheur! Je pense que seule, dans le noir, avec des fiskars crantés je n'aurais pas fait mieux!
Je suis revenue de ma pause déjeuner en longeant les murs du bureau, la tête basse, anticipant la moindre remarque de mes collègues d'un « oui, je sais, pas un mot sur l'affaire ». Quelques bonnes âmes ont tenté un « ça change », « c'est pas SI terrible », mais les proches, eux, n'ont pas hésité à discrétement effacer le N° de tél de ce cher visagiste en me tendant leurs kleenex.
1H après (oui ma boss est cool et compatissante) j'étais repartie entre les mains d'une experte, recommandée par une super amie à la crinière de rêve.
En me voyant entrer, Sophie (ma sauveuse), n'a pu retenir un « Ah oui en effet » qui voulait tout dire. Elle a alors bien rattrapé le coup et je lui ai fait la promesse de lui rester fidèle.
Après quelques jours je peux enfin revenir sur cet épisode difficile, j'ai dompté l'épi, mais j'adresse ici un message à cette coiffeuse: NE ME QUITTE PAS!!!

mercredi 2 juillet 2008

J'y étais : le premier concert de Julien Doré

Aujourd'hui, le Banc de Morues part en reportage. Parce que ça déconne, ça rigole, n'empèche que telle que vous me lisez, je suis une véritable journaliste d'investigation, une envoyée spéciale de dingue, limite de la graine de Pulitzer qui n'aime rien tant que de se frotter au terrain (s'il a une hygiène corporelle acceptable, hein, faut pas déconner non plus).

Mais bon, étant donné nos moyens (limités) et ma trouille de l'avion (illimitée), pour ce premier duplex, on a fait sobre : je vous cause live from Orléans. Et ici, à Orléans, y'a de la star. De la Nouvelle Star même, si tu vois ce que je veux dire. Mais tu vois : t'as lu mon titre.

Donc le premier concert de Julien Dore en direct de l'Astrolabe, j'y étais. Pour toi lecteur. Enfin, trice.

Avertissement : étant donné nos moyens (toujours aussi limités) et la panne récente de mon Nikon, ce billet sera intégralement illustré avec de la photo de merde ou on voit rien (mais alors rien).

En même temps, ça donne un petit côté arty du plus bel effet. Mais si, mais si.

Le public :

C'est la surprise de la soirée : Julien Doré n'est pas l'homme d'un seul public.

De lolitas m6sées que-c'est-pas-leur-faute-à-elles : point. De lecteur de Technikart-borderline-underground-counter-culture : point. Alors quid?

Ben du jeune (très)

De la personne âgée (très)

De l'Orléanaise BCBG un petit peu aussi (un régal pour les yeux)

La chaleur :

Et je te cause pas de la douce chaleur qui prend ton corps au rythme lancinant des premiers accords de guitare qui envahissent une salle conquise et déjà offerte dans une quasi communion mystique des âmes et du corps. Grave que non. Je te cause de la canicule

intra muros qui s'abat sur toi telle la vérole sur le bas clergé dès que t'as franchi la porte. Il devait bien faire 40°C là-dedans, bonjour le four, j'ai envie de te dire. Résultat cousu de fil blanc : ça puait le dessous de bras là-dedans pire que dans un dojo. Alors que pardon, on avait une source de fraicheur pas loin, t'as qu'à voir. (on remarque au passage l'humilité du Doré, qui n'a pas fait l'erreur de se surestimer : mieux vaut une modeste petite salle complète qu'un gros Zénith à moitié vide, tu me diras).

La musique (ouiii la musiiiiiqueeeee)

Canonne. Mais bon, je suis une sale groupie partiale, alors...

On remarque que le Doré est un véritable homme-orchestre de l'instrument improbable. Clavier bontempi, micro-symbales, métallophone... il a le bon goût d'avoir un budget accompagnement en accord avec mon budget photo.

Les entractes comiques :

Très appréciés par la représentante du troisième âge à ma droite qui s'est crue obligée de ponctuer bruyamment chaque petite phrase du Golden boy par des remarques essentielles. Extrait " aaah quel amour ce garçon" "ce qu'il est trognon tout de même " " c'est mieux qu'un concert de rock, il vont avoir du mal les Dig Up Elvis " " les musiciens sont somptueux " " la choriste est charmante ".

Soit dit en passant, la minette de Cocoon a du apprécier de passer pour une choriste.

Une bien belle soirée en somme! Merci Jean-Pierre, je rends l'antenne.

A vous Cognac-Jay!